Nouvelle résidence dans le cadre d’Archipel(s) Lozère

Dans le cadre du programme Archipel(s) Lozère, la Fabulerie et le LaboRieuse , accueillent la compagnie Hors Propos pour une résidence de création participative autour du vivant, des imaginaires et du réemploi.

Pendant dix jours, les artistes Anaëlle Niger, Silène Martinez et Marion Kuenemann invitent enfants, adolescent·es et enseignant·es à explorer l’univers des petites bêtes, esprits et créatures de la rivière, en conjuguant création plastique, jeu scénique et photographie.
À partir de matériaux de récupération et d’éléments naturels, les participant·es inventent ensemble un bestiaire poétique et éphémère, entre nature et invention.

*******************
Une semaine de création partagée

Articulée autour d’ateliers au sein de l’école élémentaire de Saint-Étienne-Vallée-Française et le collège Achille Rousson, cette résidence tisse des passerelles entre les lieux d’apprentissage, d’exploration du vivant.

L’école de Saint-Étienne-Vallée-Française et le collège Achille Rousson,  participent au projet.
Chaque groupe imagine, fabrique et met en mouvement sa propre “créature” :
masques, sculptures, marionnettes, ou personnages hybrides, inspirés du petit peuple autour de l’eau.

******************

Au programme : 

• Le 13 & 14 novembre → ateliers de création au sein de l’école de Saint-Étienne-Vallée-Française et du collège Achille Rousson
• Le 16 novembre → happening au marché de Sainte-Croix, autour du recyclage et de la transformation des déchets (selon la météo !)
• Le 18 novembre → restitution collective à l’école de Saint-Étienne-Vallée-Française : déambulation dans la cour Oasis, et au collège avec présentation des créatures et séance photo commune
• Le 19 & 20 novembre → travail plateau et clôture à LaboRieuse

L’expérience se prolongera par une petite exposition photographique et les enfants conserveront leurs créations.

 Les mots de la compagnie Hors Propos
“Imaginer des créatures inspirées de la nature, c’est un jeu poétique et collectif, un moyen de cultiver un rapport sensible et autre à son environnement, que l’on espère plus curieux, plus joyeux, plus vivant.”